1862. Le propriétaire désargenté d’un château sarthois invite quelques amis et personnes d’importance à passer les fêtes de Noël dans sa grande propriété. Pour divertir ses convives et leur offrir un cadeau à bas prix, il demande à l’un de ses amis, directeur de l’École des beaux-arts de Paris, de lui envoyer des étudiants pour tirer le portrait de ses hôtes. L’homme lui déniche deux jeunes peintres volontaires et sans le sou : un certain Claude Monet et son copain Pierre-Auguste Renoir. Mais, à la veille de Noël, un meurtre est commis. Les deux amis, qui ont observé les convives de près et ont assisté à leurs conversations, se mettent alors en tête de démasquer l’assassin. Non pas qu’ils aient une âme de détective, mais, au milieu de cette faune bourgeoise solidaire, ils sont les moutons noirs et on ne tarde pas à les soupçonner. Renoir et Monet n’ont pas le choix. En attendant l’arrivée de la police et du procureur qu’on est parti quérir malgré la tempête de neige qui fa
« Le Café de la pleine lune n’a pas d’adresse fixe. De temps à autre, il apparaît là où bon lui semble : dans une rue commerçante, une gare, au bord d’une rivière. » À Kyoto, un café ambulant tenu par des chats maîtres en astrologie fait son apparition comme par magie les soirs de pleine lune. À la lueur des étoiles, cette mystérieuse roulotte accueille les humains qui en ont besoin. Fondant au chocolat et sa glace de pleine lune, café glacé au sirop d’aurore… En dégustant les desserts préparés sur mesure, les clients se confient aux étonnants tenanciers à moustaches. Et grâce à la lecture de leur thème astral, tous comprennent peu à peu à quel moment ils se sont égarés. L’interprétation de la carte du ciel leur permettra-t-elle de surmonter les obstacles qui les empêchent de trouver le bonheur ? Inspiré de la croyance populaire japonaise des chats porte-bonheur, ce roman magique allie sagesse orientale et lecture des étoiles. Le roman qui a conquis le cœur des lecteur