Quand la curiosité est vraiment un vilain défaut…
Paris, Lyon, Alicante. Une série de crimes méthodiques, au modus operandi similaire.Un suspect bien sous tous rapports, au passé lourd d’une blessure jamais refermée.Louise, derrière la fenêtre de son appartement de Montmartre ou la vitrine de la librairie où elle travaille, s’éprend d’un inconnu au charme fou. Bientôt, des coïncidences troublantes et des mensonges, l’incitent à voir en lui le coupable des meurtres mentionnés dans la presse.
Louise regrettera-t-elle d’avoir espionné son voisin d’en face ?
La curiosité est un vilain défaut. Tout le monde le sait. Et pourtant, l’être humain est un voyeur né qui ne peut s’empêcher de regarder par les fenêtres.
Paris, Lyon, Alicante. Une série de crimes méthodiques, au modus operandi similaire.Un suspect bien sous tous rapports, au passé lourd d’une blessure jamais refermée.Louise, derrière la fenêtre de son appartement de Montmartre ou la vitrine de la librairie où elle travaille, s’éprend d’un inconnu au charme fou. Bientôt, des coïncidences troublantes et des mensonges, l’incitent à voir en lui le coupable des meurtres mentionnés dans la presse.
Louise regrettera-t-elle d’avoir espionné son voisin d’en face ?
La curiosité est un vilain défaut. Tout le monde le sait. Et pourtant, l’être humain est un voyeur né qui ne peut s’empêcher de regarder par les fenêtres.
Cette lecture m’a été proposée en avant-première par l’auteur, Sébastien Théveny. Je tiens à le remercier pour sa confiance, car j’aurais dû, il y a quelque temps, chroniquer un autre de ses livres. Mais pour raisons personnelles je n’ai pas pu tenir mes engagements. Alors, je me rattrape.
Lecture faite d’une traite. Pas de temps morts, comme l’intrigue dans laquelle nous entraîne Sébastien Théveny.
Trois meurtres… Trois villes… Aucun lien apparent. Et pourtant…
Louise est une jeune femme introvertie qui vit au travers de ses lectures, mais surtout à travers sa fenêtre. Elle habite tout en haut de son immeuble ce qui lui donne vue sur ses voisins et notamment ceux de l’immeuble en face. Elle flashe sur ce beau quarantenaire, brun, au corps de rêve, qui se promène chez lui en boxer. Aussitôt l’imagination de Louise se déchaîne pour inventer la vie de cet homme, jusqu’à ce qu’elle le rencontre et ose lui adresser la parole. Se développe une relation amoureuse qui laisse Louise sur sa faim. Pourquoi a-t-il des moments de violence, pourquoi ses yeux noirs sont si tristes, mais aussi si cruels ?
Dès le premier mot, nous sommes dans l’action. Deux histoires se télescopent et nous entraînent dans un tourbillon de vies pas toujours facile pour les protagonistes. Chaque mot, chaque geste, chaque action a son importance dans la résolution de l’énigme. Il faut s’attacher au moindre détail. Cela ne va pas sans nous rappeler des enquêteurs à l’ancienne tels Hercule Poirot ou Columbo. La tête, le détail, le petit grain de sable qui vient perturber le meilleur plan. Voilà ce que nous propose l’auteur.
L’action est capitale, mais les personnages tiennent une place importante dans le déroulement de l’histoire. Tous, de l’insignifiant voisin à la victime, nous amènent dans les méandres du comportement humain. Chacun à sa face obscure qu’il doit absolument préserver.
Et que dire d'Anna. On a juste envie de lui tendre la main, de la serrer contre nous pour qu'elle puisse enfin se reposer. Elle avait un rêve, elle a tout mis en œuvre pour le réaliser mais voilà le destin en a décidé autrement.
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