Au tout début du XXe siècle, un fait divers singulier défraye la chronique de Saint-Pétersbourg, la capitale de l'Empire russe: un tigre monstrueux fait régner la terreur dans la lointaine Sibérie. Il décime les troupeaux et massacre les villageois. Rares sont les voyageurs qui échappent à ses assauts.
Le Tsar promet alors à qui osera l'affronter et parviendra à l'abattre une récompense fabuleuse: le poids du monstre en pièces d'or.
Les chasseurs de prime se lèvent en masse mais sans grand succès. Le Tigre semble doué de prescience. Il évente leurs pièges et de gibier mis à prix se fait chasseur impitoyable, puis sévanouit à nouveau dans la steppe.
C'est alors qu'un jeune Pétersbourgeois, Ivan, décide de se lancer à son tour dans l'aventure.
Il parvient à localiser le fauve. L'ultime étape d'un duel à mort approche. Mais pour parvenir à ses fins Yvan aura recours à un stratagème odieux qui se retournera contre lui.
Le Tigre est l'un des premiers textes de l'auteur écrit à 19 ans. On y trouve déjà le goût du détail saisissant et le sens de la progression dramatique qui fera merveille dans ses romans.
Le Tsar promet alors à qui osera l'affronter et parviendra à l'abattre une récompense fabuleuse: le poids du monstre en pièces d'or.
Les chasseurs de prime se lèvent en masse mais sans grand succès. Le Tigre semble doué de prescience. Il évente leurs pièges et de gibier mis à prix se fait chasseur impitoyable, puis sévanouit à nouveau dans la steppe.
C'est alors qu'un jeune Pétersbourgeois, Ivan, décide de se lancer à son tour dans l'aventure.
Il parvient à localiser le fauve. L'ultime étape d'un duel à mort approche. Mais pour parvenir à ses fins Yvan aura recours à un stratagème odieux qui se retournera contre lui.
Le Tigre est l'un des premiers textes de l'auteur écrit à 19 ans. On y trouve déjà le goût du détail saisissant et le sens de la progression dramatique qui fera merveille dans ses romans.
Et bien de temps en temps, cela fait du bien de retomber en enfance et découvrir ce qui est proposé à nos enfants. Ici, un conte russe. Joel Dicker, l'auteur de la Vérité sur l'affaire Harry Quebert, qui publie une histoire qu'il a écrit alors qu'il était âgé de 19 ans. Soixante quatre pages avec des illustrations de David de La Heras.
Nous partons en Sibérie pour une chasse au tigre. Un tigre géant qui fait régner la terreur sur la région en tuant hommes, femmes, enfants, animaux... bref, tout ce qui ce présente sur son passage. Rare sont ceux qui échappent aux griffes du félin. Le Tsar promet le poids du monstre en pièces d'or à qui le tuera. Évidemment, tout le monde devient tueur de tigre. Mais celui ci se déjoue de tous les pièges qui lui sont tendus. Jusqu'à sa rencontre avec Yvan.
«C'est l'un des premiers textes de l'auteur écrit à 19 ans. On y trouve
déjà le goût du détail saisissant et le sens de la progression
dramatique qui fera merveille dans ses romans», indique son éditeur.
Alors, nous n'allons pas nous mentir, nous ne sommes pas devant un chef d’œuvre. Nous sommes face à un écrit d'ado qui rêve d'être un grand écrivain et qui a encore beaucoup de chemin à faire. Ce n'est pas une écriture très littéraire et les phrases ont du mal à assembler les mots. L'histoire est bâclée, non aboutie. La fin arrive brutalement comme un cheveu sur la soupe. Vous me direz, 64 pages avec illustrations, ça ne laisse pas beaucoup de place à l'écrit.
Mais comme le reconnait l'auteur : "C’est le premier texte que je suis parvenu à boucler, avec un début, une
fin qui tient la route, de la matière, un personnage travaillé."
Malgré les critiques négatives, j'ai bien aimé ce conte. Ce tigre insaisissable qui se joue de tous, Yvan chasseur crédule qui se voit déjà milliardaire et qui rêve de sa nouvelle vie. L'ambition de ce jeune chasseur qui va au bout, mû par des raisons pas très louables. Face à face d'un fauve tueur intelligent et d'un pauvre être humain qui rêve d'argent et de gloire.
C'était sympa et il ne faut pas chercher plus loin. Les dessins qui illustrent ce livre m'ont semblé, comme le texte, non aboutis. Mais je ne suis pas fan de BD ou autre et je dois dire que je préfère de beaux dessins ou peintures que des illustrations modernes.
Il est toujours bien sympathique de découvrir les débuts d'un écrivain et de voir le chemin parcouru.
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