Joel Backman a passé ces six dernières années derrière les barreaux.
Coupable de trahison envers son pays (les Etats-Unis) pour avoir "vendu”
à un pays étranger le logiciel JAM, permettant de contrôler un ensemble
de satellites espions. Alors qu'il lui reste quatorze ans à tirer, le
président sortant, sous pression du directeur de la CIA, lui accorde la
grâce présidentielle. Sous escorte, Joel Backman, devenu Marco Lazzeri
ira s'enterrer à Bologne, en Italie.
Pourquoi se cacher quand on a été gracié ? La liberté va pourtant de
paire avec la grâce présidentielle. Joel se rendra rapidement compte
qu'il est en danger et que la CIA l'a libéré dans l'unique but de
déterminer qui veut sa peau, et par la même occasion de récupérer des
informations capitales sur le logiciel espion qui a finalement disparu
de la circulation après l'annulation de la vente.
Le clandestin est un bon roman, mais pas le meilleur de Grisham. Bien que l'on connaisse les intentions de la CIA, l'ignorance de Backman et sa découverte de l'Italie nous plonge dans une balade divertissante. En parallèle des tribulations de notre vieux lobbyiste reconverti en toursite canadien, Grisham met en place la traque finale ; pas de course poursuite tout au long du roman.
La fin n'est pas des plus exceptionnelles, le style est fluide, mais l'histoire ne décolle pas... On ne sait pas trop où veut nous amener l'auteur, le fond de l'histoire sur le thème de l'espionnage international d'un satellite nous perd un peu au sein des différentes organisations telles que la CIA, le FBI, et autres organisations, chinoises, israéliennes et autres... Mais on a quand même envie de savoir comment va s'en sortir le personnage principal, on s'y attache tout doucement, mais pour moi, la "sauce" n'a pas pris...
Le clandestin est un bon roman, mais pas le meilleur de Grisham. Bien que l'on connaisse les intentions de la CIA, l'ignorance de Backman et sa découverte de l'Italie nous plonge dans une balade divertissante. En parallèle des tribulations de notre vieux lobbyiste reconverti en toursite canadien, Grisham met en place la traque finale ; pas de course poursuite tout au long du roman.
La fin n'est pas des plus exceptionnelles, le style est fluide, mais l'histoire ne décolle pas... On ne sait pas trop où veut nous amener l'auteur, le fond de l'histoire sur le thème de l'espionnage international d'un satellite nous perd un peu au sein des différentes organisations telles que la CIA, le FBI, et autres organisations, chinoises, israéliennes et autres... Mais on a quand même envie de savoir comment va s'en sortir le personnage principal, on s'y attache tout doucement, mais pour moi, la "sauce" n'a pas pris...
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