Les femmes de la famille Jackson sont comme le jour et la nuit. Indiana,
la mère, exerce comme masseuse-thérapeute à la clinique de San
Francisco. Séparée du père de sa fille, qu’elle a eue alors qu’elle
était lycéenne, elle est indépendante et épanouie, et a du mal à se dire
qu'elle pourrait refaire sa vie : que ce soit avec Alan, riche héritier
d’une grande famille de la ville qui la couvre de cadeaux dont elle ne
sait que faire, ou avec Ryan, ancien navy seal qui a perdu une jambe au
cours d’une mission en Afghanistan.
Contrairement à sa mère, qui ne voit le mal nulle part, Amanda, comme son père, inspecteur de la police de San Francisco chargé des homicides, est obsédée par la face sombre de la nature humaine. Brillante, introvertie, lectrice passionnée, elle a créé un jeu de rôle en réseau, Ripper, pour résoudre les grandes énigmes de l’histoire criminelle.
Quand la ville est secouée par une série de meurtres étranges et sordides, Amanda met ses enquêteurs au travail et ne tarde pas à découvrir qu’ils pourraient être l’œuvre d’un tueur en série. Mais bien vite, le jeu se transforme en cauchemar lorsqu’Indiana disparaît…
Contrairement à sa mère, qui ne voit le mal nulle part, Amanda, comme son père, inspecteur de la police de San Francisco chargé des homicides, est obsédée par la face sombre de la nature humaine. Brillante, introvertie, lectrice passionnée, elle a créé un jeu de rôle en réseau, Ripper, pour résoudre les grandes énigmes de l’histoire criminelle.
Quand la ville est secouée par une série de meurtres étranges et sordides, Amanda met ses enquêteurs au travail et ne tarde pas à découvrir qu’ils pourraient être l’œuvre d’un tueur en série. Mais bien vite, le jeu se transforme en cauchemar lorsqu’Indiana disparaît…
Les critiques qui courent sur internet ne sont pas à l'avantage de l'auteure que nous avons connu dans une meilleure forme. Mais, comme il est précisé, il s'agit d'un premier roman Policier, alors soyons tolérants.
Personnellement, j'ai bien aimé. A mon avis, il faut prendre ce livre de deux façons : la première partie correspond à l'écriture habituelle d'Isabel Allende : une histoire, des personnages atypiques mais sympathiques. Et puis les 200 dernières pages, comme un roman policier : l'histoire gagne en rythme et l'intrique prend son envol. Effectivement, 400 pages pour un premier roman policier, c'est trop long d'autant plus que nous comprenons assez vite qui est l'auteur de ces crimes.
Le plus gros point négatif, à mon sens, est la profusion de personnages qui ne sont pas utiles à l'enquête et qui embrouille. En effet, nous nous trouvons face à un club de jeunes de divers horizons et pays qui se connectent pour mener un jeu par internet (genre Cluedo). A quoi servent ils puisque ce n'est pas eux qui font progresser l'investigation.
Évidemment, nous ne sommes pas en présence d'un Harlan Coben, mais il s'agit d'un moment sympathique de lecture. J'espère que l'auteure ne va se décourager et continuer à nous surprendre. La base est bonne mais il manque la petite touche qui permettra de classer ses écrits dans le polar.
Le plus gros point négatif, à mon sens, est la profusion de personnages qui ne sont pas utiles à l'enquête et qui embrouille. En effet, nous nous trouvons face à un club de jeunes de divers horizons et pays qui se connectent pour mener un jeu par internet (genre Cluedo). A quoi servent ils puisque ce n'est pas eux qui font progresser l'investigation.
Évidemment, nous ne sommes pas en présence d'un Harlan Coben, mais il s'agit d'un moment sympathique de lecture. J'espère que l'auteure ne va se décourager et continuer à nous surprendre. La base est bonne mais il manque la petite touche qui permettra de classer ses écrits dans le polar.
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